en japonais :
Ansokuni kurueru haruiro
Wasurete shimaerumono naraba
Kyuukaino bini ryoume shizume
Tada kodokunanodato waraeru
Daisanni kawareru haruiro
Iki hisome deineiwo oyogu
Bataashide oboreteyuku samawa
Souzoudouride tsumaranai
Genjitsuwo korosu kikiteyori
Tayasuku kizuwo tsukeretadarou
Nawo umete
Fuhaishita nega suimen yurasu
Yugamu youni mawaru haguruma
Kishimu otoni mimi wo katamukeru
Kireini kurueteru darouka
Subetewa kinkuno asaiumi
Azayakato mimachigaeruhodo yogore
Sayonara muhouno yamini ochiteyuku
Sayonara korede owari
Namida (x3) doukokuno ame kyomuto mukiautabi afure
Tsuzuru kotobaga nijimu
Namida (x3) itsukawa kare seijakuni korosareru
Kagefumino owarini chimayoi
Fuhaishita nega suimenwo yurasu
Yugamu youni mawaru haguruma
Kishimu otoni miwo nage kizuita
Soreto niteirukotoni kizuita
Namida (x3) doukokuno ame kyomuto mukiautabi afure
Tsuzuru kotobaga nijimu
Namida (x3) kodokuto chiru sejiakuni ikirunara
Nidoto waraenuyouni kizande
Anatawo aishita watashiga iru
Anatawo mitsumeta watashiga iru
Anatawo motometa watashiga iru
Anatawo nakushita watashiga iru
Watashiwo aishita anataga iru
Watashiwo mitsumeru anataga iru
Watashiwo kowashita anataga iru
Watashiwo ubatta anata gairu
Watashiwo koroshita anataga iru
en français :
Champ de lamentations:
Un paysage de printemps dans lequel je pourrai reposer follement, si c'est quelque chose que je peux oublier
J'ai les yeux plongés dans le pourrissement et l' effondrement,
C'est uniquement dans la solitude que je peux sourire,
La couleur du printemps conservé par le troisième,
Retenant mon souffle, je nage dans la boue.
Je me noie après un dernier battement,
C'est ennuyeux depuis que tout fût prévu d'avance
Plus que la main dominante qui tue la réalité
Tu peux me meurtrir aisément
Enterrer mon nom
Des racines pourries troublent la plénitude de l'eau,
Les rouages tournent et se déforment
Je tends l'oreille vers le son grinçant,
Comme calmement tout devient anormal
Tout n'est qu'une mer profonde de mots tabous
Plus ont les mélangent et plus ils sont souillés
Au revoir, je me rends dans les ténèbres de la démesure
Au revoir, c'est la fin
Larmes, une pluie de lamentations
Qui déborde dès que je fais face au vide
Les mots que je tache de composer et d'exécuter
Un jour, ils se tairont éteints par le silence
Je perdrai la raison submergé l'ombre
Des racines pourries dérangent la plénitude de l'eau,
Les rouages tournent et se déforment.
J'ai remarqué que c'est moi que je tuais par ce grincement,
Et j'ai remarqué quelque chose similaire à ça
Au revoir, je me rends dans les ténèbres de la démesure
Au revoir, c'est la fin
Larmes, une pluie de lamentations
Qui déborde dès que je fais face au vide
Les mots que je tache de composer et d'exécuter
Les larmes tombent avec la solitude,
Si je vis dans le silence
Découpe-moi ainsi je ne pourrai plus sourire
Il y a moi et je t'aimais
Il y a moi et je t'ai regardé
Il y a moi et je t'ai désiré ardemment
Il y a moi et je t'ai perdu
Il y a toi et je t'aimais
Il y a toi et je t'ai regardé
Il y a toi et tu m'as détruit
Il y a toi qui m'as captivé
Il y a toi et tu m'as tué...