en japonais
Koyoi wa JIMEJIME shita "gogatsu ame" desu.
REA kimi no honnou ga GARAGARA to uzuku
Hikidashi ni kakushiteta HOKORI mamire no
Sanjuuni koukei no tsumetaku omoi PISUTORU
Rokujou hitoma no kono heya wa itsumo
Nananen mae no ANO yo wo kuri kaesu
Me wo samuketekita jijitsu ni oitsumerarete
Mae ni wa susumezu mata tohou ni kureteshimau
Kodomo no koro zutto zutto hiroibocchi de
Tsurai toki wa kidzuite hoshikute naiteta
Boku wo suteta chichi ya haha no kao wo ukabete wa
Ikuyo mo ikuyo mo naite... Koe wo agete
Koyoi wa JIMEJIME shita "gogatsu ame" desu.
REA kimi no honnou ga GARAGARA to uzuku
Goraku1 tsuke no mainichi mo kyou de owari desu.
DOKU DOKU DOKU DOKU mune ga harisakesou sa !
Nageyari ni nareba raku ni nareta no ni tamerau bakari de miugoki mo torezu
Moshi umare kawaretara sono toki wa ima yori sukoshi demo ii shiawase ni naretaratte...
Yasashisugi no hahaoya to, shinpaishou no chichioya no ai wo ukete sodatta boku wa
Okubyousa wo, yowaki jibun wo nikunda...
Itsuka sannin te wo tsunaide mata koko de issho ni kurasou ne tte
Sou itta kara boku zutto matteta no ni
Doushite kaettekite kurenakatta no ? Zutto... Mattetan da...
(shinji tsudzuketa shounen wa hiniku ni mo itsuka ato no hirosugi ni ryoushin no moto ni kaerimashita to sa... )
en français
Pistolet calibre 32
Il fait pluvieux une pluie de début d'été ce soir.
Ce sentiment presque vide de chagrin
Le calibre 32, pistolet froid et lourd
Caché dans mon tiroir de bureau et couvert de poussière
Toujours cette chambre 6 aux tapis
Qui remémore cette nuit d'il y a 7 ans
Je suis coincé par le fait que j'ai détourné les yeux
Je n'ai jamais avancé, et ai perdu mon chemin
Lorsque j'étais enfant, j'étais toujours, toujours seul
Je voulais que vous sachiez que je souffrais et pleurais
Je revois les visages de mon père et ma mère qui m'ont abandonné
Et les pleurs de tant de nuits... Hurlant
Il fait pluvieux une pluie de début d'été ce soir
Ce sentiment presque vide de chagrin
Et le passe-temps qui me passionne s'achève aujourd'hui, aussi
Aussi mon coeur est sur le point d'exploser !
Bien que j'ai facilement pris l'habitude d'être négligé,
Ça ne m'est d'aucune aide mais avance avec hésitations
Si je devais renaître, si je devais trouver plus de joie que j'en ai maintenant...
Moi, qui ai grandi avec l'amour d'une mère trop gentille, et d'un père prompt à s'inquiéter
Je hais ma propre couardise, ma faiblesse...
Nos trois mains se joindront un jour
Et nous vivrons ici ensemble à nouveau
J'ai attendu tout ce temps parce que vous avez dit ça
Mais pourquoi n'êtes vous pas revenus vers moi ?
J'ai attendu... Tout ce temps...
( Il est dit que les enfants qui continuent à espérer retrouvent ironiquement leurs racines cinq jour plus tard l'après midi)